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La gestion de l’établissement du port de la Baie du Repos (EPBR) est dans le collimateur des limiers de l’Inspection générale de l’Etat. La tourmente est bien à quai au port artisanal de Nouadhibou où l’Inspection Générale de l’Etat semble avoir élu domicile. A noter que les investigations entamées par les inspecteurs de l’IGE à l’EPBR concernent, outre celui-ci, la gestion administrative et financière dans plusieurs autres entités publiques régionales.
L’EPBR est un établissement public financé par la coopération japonaise en appui au secteur de la pêche artisanale en Mauritanie.
Ces capacités d’accueil et d’accostage des pirogues artisanales «sont estimées à 700 pirogues seulement, alors que le nombre d'embarcations enregistrées atteindrait les 3500 unités ». La coopération japonaise y a injecté 3,1 milliards ouguiyas, en 2017, pour en améliorer la capacité.
Nommé Directeur Général en mai 2020, Mohamed Vall Ould Youssouf était directeur du Centre d'Accueil et d'Insertion Sociale des Enfants en Conflit avec la Loi y a remplacé feu Yarba Ould Sghaer.
La gestion du DG du port artisanal, Mohamed Vall Ould Youssef, fait-elle DONC couler des vagues aujourd’hui?
Une cabale contre lui? Pourquoi ? Et qui en serait l’instigateur? L’homme aurait pour tous ses engagements respecté les procédures en vigueur. Que nenni rétorquent ses critiques. L’EPBR serait devenu «un vrai marécage de caïmans! »; « une mare aux requins» qui dévoreraient tout sur leurs passages.
Les détracteurs de la gestion de Mohamed Vall Ould Youssouf, eux aussi, y vont de leurs différentes insinuations. Mais il est encore très tôt de parler de véritables remous qui flottent d’autant que le rapport concernant l’EPBR n’a pas encore été totalement ficelé…Avis de tempête? Wait and see.
JD