Le député de Nouadhibou, Ghassem Ould Bellali, a accusé l’Administrateur Directeur Générale de la Snim d’avoir donné plusieurs marchés de gré-à-gré pour faire bénéficier sa famille, constate-t-on de la retransmission des débats parlementaires.

Le député a en outre accusé l’ADG de la Snim d’avoir donné des marchés complaisants comme celui du Nitrate, croit-il savoir.

Biram Ould Dah Ould Labeid, président d’Ira-Mauritanie, aurait été admis à l’hôpital neurologique, soutiennent nos confrères de Alakhbar.

En prison depuis plus d’une année suite à une marche de protestation organisée contre «l’accaparement des terres sur la vallée», Ould Abeid était en prison à Aleg mais il avait été transféré, en compagnie de son codétenu d’IRA, Brahim Ould Billal, à la prison civile de Nouakchott en novembre 2015.

Incarcéré depuis 2011 pour une tentative d'assassinat du président Aziz, Cheikh Ould Saleck s'est évadé de sa prison de Nouakchott le 31 décembre. Il est activement recherché par les services de sécurité mauritaniens, mais aussi par leurs voisins sénégalais.

Qui est Cheikh Ould Saleck ?

La police a arrêté la sœur du prisonnier salafiste évadéSalek Ould Cheikh,répondant au nom deDidda ainsi qu’une deuxième femme qui lui rendait régulièrement vite, dite Oumou Oumar. 

Le premier Ministre, Yahya Ould Hademine, a présenté mardi son discours de politique générale. Nous vous livrons son intégralité.

Le sénat a tenu mardi une séance plénière, présidée par M. Ba Abdoul Hadj, son vice-président, consacrée à l'adoption du projet de loi modifiant certaines dispositions de la loi n° 52/2012 portant code des investissements.

L’opposant mauritanien et président de la Ligue nationale de soutien au peuple palestinien, Mohamed Mahmoud Ould Ematt, a déclaré que « la rue mauritanienne ne va jamais tolérer qu’on franchisse la ligne rouge que constituent les mahdara (écoles coraniques)».

Parlons des djihadistes pour dire qu’il y a aussi affolement en Mauritanie et tout alentour, notamment au Sénégal. Il y a eu prison-break, depuis jeudi, d’un terroriste qui avait été condamné à mort en 2011 dans l’attentat manqué à la voiture piégée à Nouakchott qui « visait à assassiner » le président mauritanien, selon Al-Qaïda au Maghreb islamique qui l’avait revendiqué.

La fermeture de quatre Mahadras ou écoles coraniques à l’est de la Mauritanie n’est en fait que la partie visible de l’iceberg du bras de fer que se livrent pouvoir et Islamistes en Mauritanie, peut-on constater dimanche à la faveur d’un débat télévisé sur la chaine Wataniya mettant aux prises les représentants des deux camps.

La disparition des écoles et des instituts d’enseignement du Coran "sonnera la fin de la Mauritanie", a alerté, jeudi, Mohamed Jemil Mansour, chef du parti mauritanien d’obédience islamiste, Tawassoul(Opposition).