Dans le paysage socio-économique de la Mauritanie, une question émerge avec une netteté troublante : pourquoi les enseignants mauritaniens sont-ils systématiquement exclus des bénéfices fonciers ? Peut-on s’accommoder de cette situation à long terme ? Cette exclusion, qui perdure depuis des décennies, est devenue une source de frustration et d’injustice pour une profession essentielle à l’avenir éducatif et social du pays.