
Le domicile de notre client s’est transformé de facto, depuis sa sortie de l'hôpital de cardiologie, en une prison collective réservée aux membres de sa famille, avec l’obligation de se soumettre à des mesures arbitraires tant à l’entrée qu’à la sortie, a déploré le Collectif de défense de l'ancien président Mohamed Ould Abdel Aziz.