Le feuilleton politico-juridique, désormais dénommé « dossier Bouamatou et autres » et enregistré, sous le N°04/RP/2017, occupe les Mauritaniens, par media interposés.
Le dossier n’est pas prêt, semble-t-il, de révéler tous ses dessous. L’accusation, a priori très grave – le Parquet évoque des « crimes gabegiques transfrontaliers » – met en cause des sénateurs, des syndicalistes, des journalistes et des personnalités politiques.