
Les Mauritaniens sont unanimes : la dilapidation de l’argent public était quasiment systématisée. Depuis, au moins, une bonne vingtaine d’années. Ce n’est pas totalement faux. Durant ses vingt-et-un ans de règne, Maouiya ould Sid’Ahmed Taya fut, effectivement, moins que peu regardant sur les comportements guère orthodoxes des gestionnaires de l’argent public.

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