
Six prisonniers islamistes mauritaniens en grève de la faim condamnés pour “terrorisme”, dont quatre à la peine capitale accusent les autorités et les organisations humanitaires d’indifférence à leur sort.
Ils réagissaient notamment à des déclarations du porte-parole du gouvernement, Mohamed Lemine Ould Cheikh, estimant qu’un condamné à mort n’avait aucun droit à revendiquer.