
Abondamment cité dans le rapport de la Commission d’enquête parlementaire sur la gestion de l’économie nationale sous son règne, l’ex-président Aziz - contre qui pèse des soupçons de corruption, de détournements des biens publics et qui vient d’être placé sous contrôle judiciaire - va devoir faire face au gel de ses avoirs placés sur des comptes en banque en Mauritanie.