C’est dans le plus grand silence que la Banque mondiale sombre actuellement peu à peu dans l’insignifiance, à mesure que ses principaux clients payeurs se tournent de plus en plus vers d’autres prêteurs. Si l’institution entend survivre, sa direction va devoir optimiser ses procédures d’approbation des prêts, et tirer parti des atouts uniques qui la distinguent de ses concurrentes.