Le Calame - Ce jeudi 15 avril, dans les colonnes de Jeune Afrique, l’ancien président Aziz donne des coups à l’opposition et à son vieil ami de 40 ans, Ghazouani, sans le citer nommément. Aziz n’épargne pas non plus les députés qui ont mis en place la Commission d’enquête parlementaire (CEP), à l’origine d’un rapport explosif de huit cents pages qui le présente comme le décideur d’un système mêlant abus de pouvoir et corruption.