Le sort de Ahmed El Khalil, conseiller aux droits de l’homme au sein de l’organisation du Front Polisario, arrêté il y a plus de huit ans par les autorités algériennes, inquiète toujours ses proches, constate-t-on dans les colonnes de nos confrères de «futurosahra».
Selon ce cite d’information sahraoui (https://futurosahara.net/?p=30231), cette déclaration est attribuée par la presse ibérique dont l’agence officielle EFE à la famille de Ahmed El Khalil, dont la dernière rencontre de l’un ses membres remonte à deux mois après son emprisonnement, il y a de cela huit ans maintenant, à la prison militaire algérienne de Blida.
Son fils Rachid El Khalil cité par l’agence EFE, selon la même source, a indiqué que le 6 février dernier correspondait avec la 8ème année de sa disparition.
La famille de Ahmed El Khalil a notamment, selon la même source, imploré les organisations de droits humains espagnoles de s’impliquer dans cette affaire pour faire la lumière sur le sort du porté disparu.
Notons que dans une réunion, en date du 25 janvier 2019, à Layoune, des familles Rgueibat ont réclamé le retour de leur fils Ahmed El Khalil et exigé, s’il était mort, des explications sur les circonstances de son décès ainsi que le rapatriement éventuel de sa dépouille.