
L'entretien que Jeune Afrique a eu récemment avec Mohamed Ould Abdel Aziz était plein de délires. Ce monsieur - comme l'appelait, en connaissance de cause, feu Ely Ould Mohamed Vall - qui n'a jamais estimé que Jeune Afrique était digne d'estime ou d'intérêt a fini pourtant par choisir cette publication pour s'adresser à l'opinion publique. En réalité, c'est à une certaine opinion africaine qu'il s'adressait.