Le pays a connu cette année un retard marqué de l’hivernage et un déficit pluviométrique inquiétant, ce qui présage d’une véritable catastrophe pour les éleveurs et les agriculteurs dans la grande majorité des régions du pays.
Nous constatons au Rassemblement des Forces Démocratiques la grave détérioration du climat des affaires et des investissements dans notre pays, en raison des injustices que fait subir le régime en place aux promoteurs économiques qui ne se plient pas à ses caprices et à sa boulimie qui se manifeste par sa mainmise sur l’ensemble des richesses du pays.
<p>En plein été du mois de juillet 1999 sous le soleil ardent de l'Afrique lorsque le gouvernement sénégalais avait décidé de m'expulser du pays de la Téranga, suite aux pressions diplomatiques du petit dictateur de Nouakchott le colonel Maouya Ould Sid'Ahmed Taya, le doyen Djibo Kâ faisait partie d'un de nos plus solides soutiens à Dakar.
Le Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l'Union africaine (UA) a consacré sa 716ème réunion tenue le 4 septembre 2017 à une séance publique sur le thème: « Lancement inaugural du Mois d'amnistie pour la remise et la collecte des armes illégalement détenues en Afrique » conformément à la décision Assembly/AU/Dec. 645 (XXIX), adoptée par la 29ème Session ordinaire de la Conférence de l'Union.’’
La gentrification, ce phénomène d’embourgeoisement urbain ou de création de la petite noblesse, désigne une forme particulière d’enrichissement qui concerne les quartiers populaires et passe par la transformation de l’habitat, voire de l’espace public et des commerces.
Tasiast Mauritanie Limited S.A (TMLSA ou Tasiast) a fait don d’équipements médicaux et sanitaires ainsi que de médicaments d’une valeur d’environ 28 millions d’Ouguiyas (77.000 dollars US) au centre de santé de Chami le Jeudi 7 Septembre 2017.
Depuis quelque temps, un dossier défraye la chronique à Nouakchott, et même au-delà, le « dossier Ghadda ».
En matière de justice, d’Etat de droit et de démocratie, tous les observateurs s’accordent pour reconnaître que ce dossier nous a fait revenir des dizaines d’années en arrière.
Depuis des lustres, les fabulistes et les conteurs ont produit une foultitude d’œuvres populaires pour illustrer l’attitude des puissants du moment qui, sous de faux et grossiers prétextes, essaient de tirer parti des situations. Chez nous, on parle de « Sibbit Chertat ». Chertat est cet animal du patrimoine culturel maure mi-hyène mi chacal, rustre, maladroit, opportuniste, gourmand, couard, perfide et opportuniste à l’excès.
En Mauritanie rectifiée, donner ne se conjugue à aucun temps. Pire, c’est désormais assimilé à une corruption insolite sans passe-droit en contrepartie. Pour avoir connu ce "dangereux" mécène qu’est Mohamed Ould Bouamatou, trois journalistes et la directrice d’un site web se sont ainsi vus traînés devant la justice.