
Alors qu’il est parti en Europe pour, soit disant se soigner, l’ancien président Mohamed Ould Abel Aziz en est à sa quatrième ou cinquième sortie publique et à chaque fois comme un leitmotiv, il réclame d’être jugé dans les plus brefs délais. A le voir et à l’entendre, il piaffe d’impatience pour faire face enfin, à ses accusateurs.