Des concertations sont engagées depuis bientôt un mois au sein des partis de l'opposition politique radicale en Mauritanie pour trouver la meilleure stratégie pour aller à l'élection présidentielle prévue en 2019.
Le fédéral du Rassemblement des Forces Démocratiques (RFD) au niveau de la capitale économique,Moctar Ould Cheikh, s’en est pris, au cours d’un rassemblement populaire, au parti au pouvoir en Mauritanie, le décrivant de « vestiges des régimes corrompus, cupides et vampires ».
Dans le cadre de sa politique de redynamisation de son parti, l’Union des Forces du Progrès (UFP) sectionEurope a organisé ce samedi 31 mars 2018 une conférence politique, renouant ainsi le dialogue avec la diaspora.
La gendarmerie mauritanienne vient de mettre au jour 15 squelettes humains révélant que les suppliciés ont eu les mains et les pieds ligotés. Cette caractéristique rappelle les circonstances dans lesquelles plusieurs soldats, arrêtés et torturés en raison de leur appartenance raciale, ont été sommairement assassinés durant les années de braise (1987-1991). De telles exactions s’étaient déroulées principalement dans le nord du pays.
Le COllectif des rescapés et VIctimes de la REpression (COVIRE) des années 1989/91 a célébré, dimanche 25 Mars, à son siège près de l’hôtelIkram, le neuvième anniversaire de la Journée de réconciliation nationale, sous le signe« Paix et espoir d’uneMauritanie réconciliée avec elle-même ».
Le Forum national pour la démocratie et l’unité (FNDU), qui regroupe le gros de l’opposition mauritanienne, a accusé le patronat de financer la campagne d’implantation que l’Union pour la République (UPR, au pouvoir) compte lancer ce mercredi soir.
Entamées depuis quelques jours, les opérations d'implantation de l'Union pour la République (UPR), principal parti de la majorité, suscitent une vague d'indignation au sein de l'opposition. Des collectes suspectes de pièces d'identité sont à l'origine des protestations.
Une fois de plus les agissements du régime de Mohamed Ould Abdel Aziz donnent raison à l’ancien président du Patronat Ahmed Baba Ould Azizi qui avait préféré être évincé plutôt que jouer le rôle de collecteur de fond au profit du locataire du palais présidentiel.