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La police anti-émeute a dispersé samedi 11 février des manifestants qui se sont massés devant le commissariat de police 2 de Dar-Naim, où le militant Souvi Ould Chein était détenu, avant sa mort, rapporte Alakhbar.
La mort dans des circonstances troubles de Soufi ould Cheine, militant des droits humains et activiste proche de la mouvance abolitionniste, a provoqué une vague de colère dans le pays.
Face à cette situation, plusieurs organisations et personnalités issues de la classe politique et de la société civile, ont réclamé l’ouverture d’une enquête crédible, pour que justice soit rendue à la famille de Souvi Ould Cheine.
Dans le sillage, le président de la République, Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, a ordonné qu’une enquête impartiale soit menée pour situer les responsabilités.
La Rédaction de Cridem
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