
LaMauritanie qui était parti sur une bonne trajectoire de développement avec des taux de croissance qui sont passés entre 2008 et 2013, de 3,5% à 6,9%, risque de s’écrouler sous le poids de la dette, qui frôle actuellement les 99,1%.Un service de la dette qui sans doute réduira au minimum toute perspective d’investissement public.