Notre pays se trouve aujourd’hui à quelques jours des élections présidentielles, prévues le 22 juin prochain. C’est l’occasion pour que tous les acteurs politiques, à la majorité comme à l’opposition, acceptent le fait qu’on soit à bord de la même embarcation, si elle chavire, à Allah ne plaise !, c’est tout le monde qui en paierait les pots cassés. Si, par contre, elle arrive à bon port, c’est tout le monde qui en tirerait profit.