
1. Les amendements constitutionnels proposés ne sont pas le fruit d’un dialogue véritable car ils se limitent à ceux annoncées à Néma par Ould Abdel Aziz et à ceux proposés par son parti au cours du dialogue unilatéral que le pouvoir a tenu à organiser avec ‘’les présents’’ dans une atmosphère carnavalesque qui exclue toute discussion politique constructive.