La Snim connait une situation grave. On ne pourra pas taxer l’actuel ADG, Mohamed Salem Ould Béchir, nommé en août 2016 d’en être responsable. Il ne fait que prendre le train en marche. Une année c’est à la fois peu et beaucoup au gouvernail de la locomotive Snim. Le rôle crucial de cette dernière dans l’économie (30% du budget et + de 50% des exportations) du pays fait que quand elle plonge, le pays a toutes les chances de sombrer avec elle.