En marge de sa participation à l’ouverture du Salon international du livre d’Alger (SILA 2025), dont la Mauritanie est l’invité d’honneur, le ministre de la Culture, des Arts, de la Communication et des Relations avec le Parlement, porte-parole du gouvernement, M. Houssein Medou, a tenu, mardi à Alger, une réunion de travail avec la ministre algérienne de la Culture, Mme Malika Bendouda.

Le ministre de la Culture, des Arts, de la Communication et des Relations avec le Parlement, porte-parole du gouvernement, M. El Houssein Meddou, a annoncé, lors d’une conférence de presse tenue ce samedi à Nouakchott, le lancement imminent de la première édition de la Foire internationale du livre de Nouakchott, prévue du 20 au 26 octobre 2025 sous le thème évocateur : « Les étagères du désert ».

  À compter du 23 octobre 2025, les citoyens mauritaniens devront déposer une caution de 5 000 à 15 000 dollars pour obtenir un visa américain de type B1/B2 (affaires ou tourisme).

La Mauritanie figure parmi les pays concernés par ce dispositif, aux côtés du Mali, de la Tanzanie, de Sao Tomé-et-Principe, du Malawi, de la Zambie et de la Gambie, selon une note du Département d’État américain publiée le 8 octobre.

Créée en 2009 pour doter le pays d’un « outil de souveraineté » et combler les lacunes du transport aérien, Mauritania Airlines devait incarner la continuité territoriale et l’ouverture internationale.

Après vingt-quatre mois d'un conflit asymétrique qui a ravagé la bande de Gaza, une question glaçante se pose : qui sera la dernière victime ? Cette interrogation résume l'horreur d'une guerre dont le bilan humain et humanitaire est catastrophique.

  La compagnie nationale Mauritania Airlines est de nouveau confrontée à un contretemps embarrassant. Une de ses rares fiertés technologiques, le Boeing 737 Max acquis il y a quelques années dans l’euphorie d’un renouvellement de flotte, est cloué au sol à la suite d’un incident technique survenu lors de son décollage de l’aéroport de Nouadhibou.

On savait Jemal Taleb Lemoigne fin juriste du Dimanche, mais on ignorait qu’il excellait aussi dans l’art du « placement produit ». Cette semaine, miracle de la presse spécialisée : son amie de toujours, la journaliste Justine Spiegel de Jeune Afrique, lui déroule un tapis rouge bien ciré, où il a tout le loisir de poser ses empreintes… et celles de son cabinet parisien.

Le ministre de la Transformation numérique et de la Modernisation de l’administration, M. Ahmed Salem Bedda, et son homologue de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Yacoub Moïne, ont conjointement présidé, ce jeudi à l’université de Nouakchott, la cérémonie solennelle de lancement du service d'inscription universitaire en ligne.

Le Ministre de la Culture, des Arts, de la Communication et des Relations avec le Parlement, Porte-parole du Gouvernement, Monsieur El Houssein Medou, a présidé samedi dernier, depuis son bureau à Nouakchott, une réunion de haut niveau consacrée à la restitution des résultats d’une visite conjointe mauritano-algérienne.

Comment expliquer qu’un Mauritanien né à Nouakchott, petit-fils d’anciens ministres et ambassadeurs, soit réduit à l’état de “suspect” pour le simple fait de sa couleur de peau et de ses traits ? Le visage, devenu passoire de justice, remplace la loi. Ceux qui “n’ont pas la bonne apparence” se retrouvent pris dans la nasse des rafles, humiliés publiquement, marqués au fer de la suspicion.