
En s’engageant à circonscrire ses mandats à deux, comme le prévoit la constitution, le président Ould Abdel Aziz ouvre forcément la voie de sa succession en 2019. Mais, ayant marqué sa présidence près de dix années durant, l’homme devrait peser de son poids lors de la future présidentielle. Et les outsiders ne manquent pas, parmi lesquels, ses deux premiers ministres mais aussi l’ancien président de sa formation politique l’UPR.

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