Ce Jeudi 29 décembre, s’est ouvert à Nouakchott, la sixième session ordinaire du Conseil de la choura du parti d’obédience islamiste, le Rassemblement National pour la Réforme et le Développement (Tawassoul).
Les fins d’années étant par nature synonymes de bilan, celui du régime de Mohamed Abdel Aziz aurait laissé, aux yeux d’une partie de l’opposition mauritanienne, un lourd passif fait de pillage systématique des ressources, sur fond de crise politique savamment entretenue.
Le Maroc a dépêché en Mauritanie une délégation gouvernementale, qui a été reçue mercredi par le président mauritanien pour, selon un communiqué du royaume chérifien, « dissiper tout malentendu » après des propos polémiques d’un responsable marocain.
Des membres de la communauté mauritanienne vivant en Côte d’Ivoire ont organisé un sit-in mardi 27 décembre 2016, devant l’Ambassade de la Mauritanie en Côte d’Ivoire à Abidjan-Cocody II-Plateaux.
Le Forum national mauritanien pour la démocratie et l'unité (FNDU), collectif de partis d'opposition dirigé par Cheïkh Sid'Ahmed Ould Babamine, affirme avoir accueilli "avec satisfaction" les assurances exprimées par le Maroc, en réaction aux propos "irresponsables" du SG du Parti de l'Istiqlal.
Entretien téléphonique, ce mardi, entre le président Mohamed Ould Abdelaziz et SM Mohammed VI, visite attendue du premier Ministre marocain, Benkirane, à Nouakchott, pour désavouer les déclarations "dangereuses" du SG de l'Itiqlal, Chabat. Au plus haut sommet des deux Etats l'ambiance est à l'apaisement et à rassénérer sur la volonté de raffermir les liens historiques entre les deux pays.
En pleine négociation pour la formation de son gouvernement, Abdelilah Benkirane devrait pourtant se rendre à Nouakchott en Mauritanie, mardi 27 décembre. Il sera l'émissaire du souverain auprès de la présidence mauritanienne.
Le Chef de gouvernement désigné, Abdelilah Benkirane, est attendu, mardi 27 décembre, à Nouakchott pour une mission auprès de Mohamed Ould Abdel Aziz, le président mauritanien.
Après avoir "reçu une offre de corruption d'un homme d'affaire français", le président Mohamed Ould Abdel Aziz "mérite d’être sanctionné selon la Loi n° 2016.014 relative à la lutte contre la corruption", a estimé l’opposition mauritanienne, regroupée sous Le Forum National pour la Démocrite et l’Unité (FNDU).
La police de Rosso Sénégal a interpellé deux gambiens qui se rendaient en Mauritanie rapporte le quotidien l'AS.
Reconnus comme des proches de Yaya Jammeh, ils ont indiqué au cours de leur interrogatoire par les forces de l’ordre qu’ils se rendaient dans ce pays pour acheter des moutons, boeufs et chameaux destinés à l’armée gambienne.
#Mauritanie : Partira ou partira pas? A cette question que se posent bien des Mauritaniens, le président Ould Abdel Aziz a répondu avec fermeté que non. Cependant, hier jeudi 22 décembre, il a rencontré des
personnalités politiques et leur a fait la conþdence qu'il allait créer un nouveau parti.