
Plusieurs dizaines de garde-côtes ont été arrêtés par les services de sécurité, apprend-on de source proche des victimes.
Selon la même source, les garde-côtes débauchés de leurs emplois observaient un sitin de protestation devant le gouvernorat de la ville.
Dans plusieurs courriels transmis aux organes de presse, les garde-côtes renvoyés dénonçaient la mesure de licenciement collectif et sans aucun préavis à leur encontre.