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Dans un post publié sur Facebook, attribué au Député Biram Dah Abeid, qui a terminé en deuxième position lors des dernières élections présidentielles ; ce dernier a exprimé ses sentiments sur la récente nomination de Mokhtar Diay au poste de Premier ministre. Pour Dah Abeid, cette décision marque une "étape dans la bonne direction."
Il a souligné que, bien que des divergences subsistent entre lui et le régime en place, la nomination de Mokhtar Diay représente un progrès notable. "La nomination de Mokhtar Diay – malgré nos divergences avec le régime – est une étape dans la bonne direction et un coup porté à l'hégémonie de l'aile obscurantiste et des magnats de la finance sur le régime", a-t-il affirmé. Selon Dah Abeid, cette nomination pourrait signaler un changement positif en affaiblissant l'influence des groupes qui exercent une pression néfaste sur le gouvernement.
En poursuivant son analyse, Biram Dah Abeid a exprimé l'espoir que Mokhtar Diay parviendra à réussir dans plusieurs domaines cruciaux. "Depuis notre position d'opposition véritable, nous espérons qu'il réussira à combattre la corruption, à engager un dialogue en se rapprochant de l'opposition, et ouvrir la vie politique", a-t-il déclaré. Il a ainsi souligné l'importance de l'ouverture et de la transparence dans le processus politique, tout en appelant à des efforts concrets pour lutter contre la corruption.
Dah Abeid a également réitéré son appel à une plus grande liberté politique, en insistant sur la nécessité d'autoriser les partis politiques. Il a spécifiquement mentionné le parti RAG, ainsi que les autres partis alliés dans le cadre de l'alliance "Biram Président 2024". "Il est crucial de permettre aux partis politiques de fonctionner librement, en commençant par le parti RAG et les autres parties de l'alliance avec Biram Président 2024", a-t-il conclu.
Cette réaction à chaud de Biram Dah Abeid, tout en mettant en avant les aspects positifs dans la nomination de Mokhtar Diay, met en lumière les attentes élevées en matière de réformes politiques et de transparence que l'opposition continue de réclamer.