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AMI - Le président de l'Union Pour la République, M. Sidi Mohamed Ould Taleb Amar, a confirmé que la plus haute autorité du pays a décidé que le temps de la hiérarchie sociale est révolu, indiquant que cela suffit pour rebâtir une société unique qui ne présente pas personnes sur la base de leur appartenance à telle ou telle frange sociale.
Il a déclaré que l'État ne reconnaîtra le citoyen que sur la base de son rendement pour son pays et à son peuple, notant que cela signifie que la justice est désormais consolidée et bâtie sur des bases solides et sures.
Il a ajouté lors de son ouverture du meeting organisé, samedi après-midi au site de l’ancien aéroport de Nouakchott sous le thème "meeting de l'équité", en présence du premier ministre, M. Mohamed Ould Bilal Messaoud et de plusieurs dirigeants du partis, que la présence de « cette foule si nombreuse est une preuve concluante de l'attachement aux hautes orientations initiées par Son Excellence le Président de la République, M. Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, saluant les réalisations dont le pays a été témoin dans divers domaines durant les deux dernières années.
Il a déclaré : « Le fait que la Mauritanie a surmonté les problèmes causés par la pandémie de Covid-19 prouve que nous sommes face à un dirigeant aguerri et sage qui ne ménage aucun effort pour protéger son peuple et son pays, soucieux de les rendre heureux et de les préparer non seulement à un avenir radieux et à une vie décente, mais également à la protection des richesses du pays et à la préservation des acquis».
Il a souligné que les décisions de l'État montrent clairement que les autorités supérieures du pays œuvrent à jeter des bases solides pour améliorer la transparence judiciaire, développer l'infrastructure de ses institutions, soutenir la décentralisation et augmenter les pouvoirs des groupes locaux, en plus de faciliter les procédures pour accéder aux services administratifs au profit des citoyens.
Le président du parti a souligné que toutes ces réformes ont été menées avec succès notamment en ce qui concerne la révision du cadre institutionnel ainsi que les textes relatifs à la gestion des fonctionnaires et agents de l'Etat, en plus de la réforme du Code du Travail, des régimes de retraite et de sécurité sociale.