Le président du mouvement anti-esclavagiste, IRA, Biram Dah Abeid, redoute que l'élection présidentielle du 22 juin prochain, à laquelle il participe, ne se passe pas dans "les règles de l'art", pour rester poli.
Sollicité par RFI, le candidat de la coalition IRA-Sawab n'a pas mâché ses mots pour dénoncer l’inéluctable dans un pays où les Mauritaniens n'ont plus la main sur la boîte de Pandore politique :