La détérioration de la sécurité au Sahel (essentiellement au Mali, au Burkina et au Niger), relatée par les médias, me laisse sans voix et terriblement inquiet sur les risques de contagion régionale.
Quatre candidats à l'élection présidentielle mauritanienne du 22 juin 2019 vont démarrer leur campagne ce soir à Nouakchott, la capitale et deux à l'intérieur du pays.
Les candidats Sidi Mohamed Ould Boubacar, Biram Dah Abeid, Mohamed Ould Mouloud et Mohamed Lemine Mourtaji Wavi vont démarrer à Nouakchott.
Expliquant les détails de l’opération, le président de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), Mohamed Vall Ould Belal, signale que«sept sociétés ont répondu à l’appel d’offres lancé pour la réalisation de ce marché. Quatre ont été sélectionnés. Parmi elle, une mauritanienne, qui a remporté le marché du fait d’une offre recevable en termes de prix et de qualité des bulletins de votes».
Le candidat à l’élection présidentielle prévue samedi 22 juin, Monsieur Sidi Mohamed Ould Boubacar a effectué une visite aux deux blogueurs libérés ce lundi.
Il s’agit d’Abderrahmane Ould Weddady et Cheikh Ould Jiddou qui étaient détenus dans la prison centrale de Nouakchott pour diffamation relatives au gel aux Emirats Arabes Unis de biens appartenant au président.
Quatre des cinq candidats de l’opposition en Mauritanie ont averti des risques de « hold-up » électoral lors de l’élection présidentielle du 22 juin Les principaux candidats aux Présidentielles mettent en garde contre la tentattion du pouvoir mauritanien de falsifier les résultats.
Initialement programmé à Néma, le lancement de la campagne du candidat indépendant national Biram Dah Abeïd s’effectuera finalement à Nouakchott, informe la commission communication du leader abolitionniste.
Cheikh ould Jiddou et Abderahmane ould Weddady placés en détention préventive depuis fin mars 2019, dans le cadre de la polémique sur le gel d'un compte de 2 milliards de dollars appartenant à un Mauritanien, à Dubaï, ont obtenu une liberté provisoire à la veille de la fête de l'Aïd el-Fitr.
Il faut que le prochain président mauritanien s’attaque de toute urgence à la situation déplorable du pays en matière de droits humains en adoptant une position plus ferme à l’égard de l’esclavage, de la traite des êtres humains et des attaques contre le droit à la liberté d’expression, y compris les manœuvres d’intimidation et le harcèlement visant les défenseurs des droits humains qui dénoncent la discrimination, ont déclaré Amnesty Internationa
Les hommes d’affaires mauritaniens seraient maintenus en "esclavage politique" sous le régime de Mohamed Ould Abdel Aziz, selon Mohamed Ould Mouloud, candidat à la présidentielle du 22 juin 2019.