Certains d'entre vous s’interrogent encore sur la vente du riz japonais sur les marchés, alors qu’il s’agit d’un don.
Donner du riz directement aux familles dans le besoin pourrait être une solution, mais celle-ci ne serait pas pérenne dans la lutte contre la pauvreté.
C'est avec cette conviction que les deux gouvernements du Japon et de la Mauritanie se sont entendus pour que le riz soit vendu et que les recettes récoltées servent à financer des projets de développement socio-économiques.
Le CSA s'est fermement engagé dans la réalisation de projets relatifs au développement rural, à la sécurité alimentaire des populations rurales et à l’amélioration de leurs revenus.
L'Ambassade peut constater, par exemple, la réalisation de Programme de microprojets dans les villages Amatyle (Atar), N'tekemekemt (Chinguetti) et Keurmacene dans le Sud du pays. Grâce aux recettes récoltées, des centaines de villageois ont pu aménager des potagers avec châteaux d'eau et également construire un canal d'irrigation.
(P.S. Le CSA affiche l'un des meilleurs résultats dans ce genre d’opération comparé à d'autres pays bénéficiaires.)
Le Japon accorde une grande importance au fait que les pays bénéficiaires puissent être acteurs de leur propre développement, et continuera à apporter son soutien de façon efficace et en toute transparence à un pays ami tel que la Mauritanie.
