
Expulsions, fermetures, interdictions : deux États se replient, deux peuples souffrent. Sous prétexte de sécurité, Bamako et Nouakchott brisent un acquis historique et piétinent la libre circulation consacrée depuis 1963. La politique des représailles, menée de part et d’autre, transforme commerçants et éleveurs en victimes collatérales d’une diplomatie aveugle.
Des fermetures ciblant la communauté mauritanienne à Bamako