L’appel adressé aux acteurs engagés dans les élections législatives, régionales et municipales par le président Ghazouani afin de les inciter à faire preuve de responsabilité morale est apparemment tombé dans l’oreille d’un sourd.
Les accusations d’achat de conscience, de trafic d’influence, ont commencé à fuser dès l’entrée en campagne de candidats aux scrutions prévus le 13 mai.