Les proches de 8 garde-côtes faisant partie des 300 licenciés par leur employeur, ont demandé aux autorités de les libérer. Ceux-ci avaient été arrêtés la semaine dernière par la gendarmerie lors d’un setting organisé devant la wilaya de Nouakchott.
Dans une déclaration au correspondant de Sahara Media, l’un des employés compressés a dit que le procureur de la république leur avait proposé de signer un engagement écrit de s’abstenir de manifester devant la wilaya, moyennant la libération de leurs collègues, ce qu'ils ont refusé.
La direction des gardes avait notifié aux manifestants leur licenciement et annulé un accord déjà conclu avec eux dès le début de la grève.
Cet accord prévoyait le recrutement de ceux qui sont en âge de l’être, et le paiement de 9 mois d’arriérés pour ceux qui ne peuvent être recrutés.
saharamedisa via cridem