
Quelque trois ans déjà avant la fin du deuxième et dernier mandats du Président Ould Abdel Aziz, la question de son éventuel troisième service à la tête du pays s’est mise à polluer l’atmosphère politique, exacerbant la tension consécutive à son coup de sang d’Août 2008, entre ses partisans et toute l’opposition confondue. Le survoltage atteint des sommets lors du dialogue organisé, par le pouvoir, avec une fraction de l’opposition.