
L’accaparement des terres au détriment des petites exploitations familiales reste au centre d’une vive préoccupation en Afrique. Dans le contexte mauritanien, cette réalité est aggravée par une loi sur le foncier datant de 1983, adoptée sous un régime militaire d’exception, comportant des dispositions contestées et même totalement dévoyées en phase d’application.