
L’Observatoire euro-méditerranéen des droits de l’homme basé à Genève a averti mardi, dans un communiqué, que l’ancien régime mauritanien harcelait les citoyens, en ciblant les porte-voix de l’opposition par le biais de la détention arbitraire, de la torture et de la mise en esclavage de milliers de personnes.
Un tel harcèlement menace le processus démocratique naissant en République islamique de Mauritanie.