Reporters sans frontières (RSF) dénonce le choix du procureur de la République mauritanienne d’appliquer le Code pénal à deux journalistes, pour une accusation de diffamation qui relève de la Loi sur la presse. En vigueur depuis 2010, celle-ci ne prévoit aucune peine de prison. Cette décision est très décevante au regard des réels progrès du pays ces dernières années.