Le mouvement «Y'en a marre» s’insurge contre l'expulsion du DJ du groupe de rap mauritanien Ewlad Leblad, réfugié au Sénégal depuis 2015. «Thiat» et ses camarades demandent aux autorités de cesser d’écorner l’image du pays de «la Téranga».
Une partie de l’opposition, réunie au sein d’un forum d’une dizaine de partis, a décidé de participer aux prochaines élections ainsi qu’à la présidentielle de 2019. Comment expliquer ce revirement de l’opposition ?
Le FNDU (Forum National pour la démocratie et l’unité) a décidé de rompre avec la politique de la chaise vide. La décision de sa participation aux scrutins à venir a été annoncée par son président, Mohamed Ould Maouloud.
Le président du Conseil constitutionnel, Me Sghair Ould M’Bareck, a supervisé mercredi au siège de cette institution à Nouakchott la prestation de serment des membres du comité directeur de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI).
Deux délégations de l’Union Européenne en Mauritanie. Si la première issue de la Commission Européenne s’est focalisée sur les relations commerciales dans le domaine des pêches où les deux parties partagent un accord de partenariat, la seconde prévue en avril, dans le cadre ACP-Ue, est, elle, éminemment politique.
Plusieurs anciens ministres, parlementaires, défenseurs de droits et écrivains ont lancé un appel aux parties politiques en vue de surmonter leurs divergences et d’œuvrer à l’instauration d’une alternance pacifique au pouvoir.
Ils ont notamment appelé à signer une charte par l’ensemble des acteurs politiques (majorité et opposition) et apolitiques afin de « sauver le pays et le mettre sur la voie de la stabilité et de l’équilibre ».
Voilà deux semaines que l’UPR, le parti/État (PRDS, nouvelle version) a commencé sa campagne d’implantation sur toute l’étendue du territoire national. Une véritable course-poursuite pour tenir un maximum d’inscrits sous sa « coupe ». La guerre des tendances fait rage à tous les coins de rue. Surtout à l’intérieur où l’on ne se fait aucun cadeau.
Selon Biram Dah Abeid, président de l’association antiesclavagiste IRA-Mauritanie, le régime mauritanien "décourage" les Harratines (descendant d’esclaves) lesquels constituent la "majorité" de la population et "étouffe" leurs ambitions.
Le Rassemblement des forces démocratiques enMauritanie (Rfd) de l’opposant mauritanien,Ahmed Ould Daddah, a accusé vendredi le régime de chercher à faire « substituer »l’Union pour la République (UPR, au pouvoir) aux « institutions en charge de superviser les élections ».
Les Accords de pêche entre la Mauritanie et leSénégal, suspendus depuis 2015, ne sont pas prêts d’être signés, sauf si Macky Sall accepte d’extrader les opposants mauritaniens installés sur son sol.