A la suite du Droit de réponse que nous avions adressé à Jeune Afrique, un certain nombre de sites proches du régime s’en sont pris à nous, mettant en doute notre version à savoir qu’une procédure exceptionnelle avait été adoptée en vue de notre inculpation et notre placement sous contrôle judiciaire. En effet nous avons été auditionnés le vendredi 1er Septembre entre 6 heures et 7 heures du matin, jour de la fête du Tabaski. La plus importantes fête religieuse du pays. Nous avons tenu à porter la mention sur le PV d’audition (voir fac-similé) afin de souligner l’incongruité de tout ce dossier pénal. Contrairement à l’affirmation du président Mohamed Ould Abdel Aziz au journal Jeune Afrique, aucun fait répréhensible, ne peut nous être reproché, contrairement au Président qui a reconnu avoir bénéficié d’un soutien financier dans une campagne électorale.
MSS