Une circulaire du ministre des finances relative au versement dans un compte libellé"valorisation de la production nationale" de toutes les subventions programmées dans les budgets des projets et établissements publics relatives aux réceptions, honoraires, publicité et transferts diffusée la semaine dernière a aussitôt essuyé une pluie de critiques provenant de toutes les professions libérales.
Une décision qui pourrait avoir de graves conséquences dans le milieu des professions libérales ( bureaux d’études, presse, ong et hôtels.) selon ce coordinateur de projet.
Un autre, dans le domaine du tourisme depuis dix ans, reconnaît le malaise : « Certains parlent de précarisation, c’est peut-être un peu fort, mais il y a du vrai. »
"Les budgets étaient sanctuarisés, c'est un véritable coup de massue", a dénoncé A. Y président de conseil d’administration d’un EPIC.
Dans la presse, les associations dénoncent les coupes budgétaires qui vont durement affecter la corporation.
Un risque pour les jeunes entrepreneurs qui n'ont pas hésité à comparer cette décision à un "suicide des professions libérales, qui craignent que la nouvelle génération se détourne de ces métiers.
rimeco via cridem