Lors des négociations de l’accord de pêche entre la Mauritanie et l’Union européenne, le gouvernement mauritanien avait fait part de sa volonté d’exclure les céphalopodes du champ d’application de l’accord, en réservant cette ressource aux armateurs nationaux dans le cadre de la volonté des autorités mauritaniennes de préserver les intérêts des acteurs mauritaniens du secteur.