La brillante sortie, il y a quelques jours, sur une télévision privée, de l’ingénieur Mohamed Saleck ould Heyine, à propos de la situation économique du pays, en général, et celle de la SNIM, en particulier, en dit long sur le gâchis, les mauvais choix, les investissements inopportuns, l’absence totale de vision et l’incohérence érigée en modèle de gouvernance que le pays subit depuis une décennie.