Le levier d’influence de l’aide européenne en matière de droits de l’homme a été passé au peigne fin par une consultation publique sur l’avenir de l’accord de Cotonou. Et le constat est unanime. Conditionner l’aide européenne au respect de droit de l’homme et de l’État de droit doit demeurer une exigence incontournable. Adopté en 2000, cet accord régit les relations entre l’UE et les pays ACP sur le plan politique, économique et du développement.