Le président sortant, Mohamed Ould Abdelaziz, s’est encore livré -fidèle à son génie de l’improvisation- à une conférence de presse dans laquelle il a ressassé tous les sujets dont il entretient les mauritaniens depuis une dizaine d’années, non sans, cette fois, faire un énorme clin d’œil à Riyadh et Doha en gratifiant le Qatar d’un rôle plus horrible que celui du nazisme dans l’holocauste.