Dans un article intitulé ‘’Visé par Nouakchott dans l'affaire du vol de munitions de guerre à Dakar : L'opposant mauritanien Biram Dah Abeid, risque-t-il gros?’’, le site sénégalais d’informations dakaractu n’y va pas avec le dos de la cuillère.
Où est passée notre opposition démocratique ? Survivra-t-elle à l’arrivée de Ghazwani ? L’homme eut l’intelligence de se présenter en candidat indépendant, malgré la majorité dont disposait le principal parti de la majorité présidentielle fondée en 2009 par son alter ego, Ould Abdel Aziz. Mieux, il a tendu la main, dans son discours de candidature du 1er Mars 2019, à tous les Mauritaniens faisant peu cas du parti et du gouvernement sortant.
Le président Mohamed Ould Cheikh Ghazouani a appelé au cours du Conseil des ministres tenu hier jeudi, 31 octobre dernier, les ministres d’élaborer des rapports individuels récapitulant le fonctionnement de chaque département au cours de 100 premiers jours de son pouvoir, ont révélé des sources à « Essahraa » Online.
Le président Ould Cheikh Ghazouani clôture les 100 premiers jours de son accession au pouvoir le 10 novembre courant.
Le ministère mauritanien de la Culture a invité les chefs des partis de l'opposition à assister au Festival des anciennes villes, dont l’édition 2019 sera organisée à Chinguitty, dans la wilaya de l’Adrar.
Les leaders de l’opposition invités ont effectivement reçues les invitations à cet événement culturel, indique-t-on. Le festival des villes anciennes est organisé chaque année et à tour de rôle à Chinguitty, Ouadane, Oulata et Tichit.
Elu en candidat « presque » indépendant des chapelles politiques, le président Ghazwani fait aujourd’hui l’objet de nombreuses convoitises. Les divers clans qui soutinrent sa campagne, la majorité présidentielle, les différentes initiatives et personnalités politiques qui contribuèrent à sa victoire du 22 Juin se battent pour occuper la première place ; en bref, le mettre sous « influence ».
Les prisonniers dits salafistes en Mauritanie, poursuivis dans des affaires de terrorisme, se sont plaints des conditions de leur détention dans un communiqué rendu public mercredi à Nouakchott et dont APA a reçu copie.
Des responsables et militants du parti Union des Forces de Progrès (UFP) au niveau de la Wilaya de l'Assaba (Sud) ont exprimé leur rejet de "toutes les récentes décisions " prises « contre des figures et jeunes du parti ».