Des dizaines de pêcheurs sénégalais ont manifesté ce mardi à Saint-Louis du Sénégal pour demander aux autorités de leur pays d’intervenir auprès de la Mauritanie pour demander l’annulation d’une mesure prise à leur encontre les empêchant d’accéder aux eaux territoriales de la Mauritanie considérant que leurs licences avaient expiré.
Des dizaines de pêcheurs sénégalais ont manifesté ce mardi à Saint-Louis du Sénégal pour demander aux autorités de leur pays d’intervenir auprès de la Mauritanie pour demander l’annulation d’une mesure prise à leur encontre les empêchant d’accéder aux eaux territoriales de la Mauritanie considérant que leurs licences avaient expiré.
Selon les médias locaux sénégalais les manifestants en colère ont bouclé certains axes principaux, fermé l’un des ponts de la ville, mis le feu à des pneus et ont affronté la police antiémeutes.
Les pêcheurs considèrent qu’ils ont été floués par les autorités mauritaniennes auxquelles elles ont payé la totalité des taxes exigées pour l’accès à la pêche pour une durée d’un an alors qu’ils n’ont été autorisé à pêcher que pendant deux mois seulement, après quoi on leur a signifié que leurs licences avaient expiré.
Les mêmes sources ajoutent que les garde-côtes mauritaniens ont arraisonné trois pirogues de pêche sénégalaises et confisqué leur pêche prétextant la caducité de leurs licences de pêches.
« Nous avons perdu des millions de francs CFA et nous ne pouvons pas continuer comme cela » ont déclaré les manifestants.
Les manifestants étaient particulièrement remontés contre les garde-côtes mauritaniens qu’ils accusent de brutalité, accusant par la même leur gouvernement de passivité devant cette situation.
La Mauritanie autorise des dizaines de pêcheurs sénégalais à accéder à leur ressource halieutique en vertu d’un accord signé avec le Sénégal, mais des incidents opposent assez souvent les pêcheurs sénégalais considérés en situation irrégulière aux garde-côtes mauritaniens.
Des dizaines de pêcheurs sénégalais ont manifesté ce mardi à Saint-Louis du Sénégal pour demander aux autorités de leur pays d’intervenir auprès de la Mauritanie pour demander l’annulation d’une mesure prise à leur encontre les empêchant d’accéder aux eaux territoriales de la Mauritanie considérant que leurs licences avaient expiré.
Selon les médias locaux sénégalais les manifestants en colère ont bouclé certains axes principaux, fermé l’un des ponts de la ville, mis le feu à des pneus et ont affronté la police antiémeutes.
Les pêcheurs considèrent qu’ils ont été floués par les autorités mauritaniennes auxquelles elles ont payé la totalité des taxes exigées pour l’accès à la pêche pour une durée d’un an alors qu’ils n’ont été autorisé à pêcher que pendant deux mois seulement, après quoi on leur a signifié que leurs licences avaient expiré.
Les mêmes sources ajoutent que les garde-côtes mauritaniens ont arraisonné trois pirogues de pêche sénégalaises et confisqué leur pêche prétextant la caducité de leurs licences de pêches.
« Nous avons perdu des millions de francs CFA et nous ne pouvons pas continuer comme cela » ont déclaré les manifestants.
Les manifestants étaient particulièrement remontés contre les garde-côtes mauritaniens qu’ils accusent de brutalité, accusant par la même leur gouvernement de passivité devant cette situation.
La Mauritanie autorise des dizaines de pêcheurs sénégalais à accéder à leur ressource halieutique en vertu d’un accord signé avec le Sénégal, mais des incidents opposent assez souvent les pêcheurs sénégalais considérés en situation irrégulière aux garde-côtes mauritaniens.
Des dizaines de pêcheurs sénégalais ont manifesté ce mardi à Saint-Louis du Sénégal pour demander aux autorités de leur pays d’intervenir auprès de la Mauritanie pour demander l’annulation d’une mesure prise à leur encontre les empêchant d’accéder aux eaux territoriales de la Mauritanie considérant que leurs licences avaient expiré.
Selon les médias locaux sénégalais les manifestants en colère ont bouclé certains axes principaux, fermé l’un des ponts de la ville, mis le feu à des pneus et ont affronté la police antiémeutes.
Les pêcheurs considèrent qu’ils ont été floués par les autorités mauritaniennes auxquelles elles ont payé la totalité des taxes exigées pour l’accès à la pêche pour une durée d’un an alors qu’ils n’ont été autorisé à pêcher que pendant deux mois seulement, après quoi on leur a signifié que leurs licences avaient expiré.
Les mêmes sources ajoutent que les garde-côtes mauritaniens ont arraisonné trois pirogues de pêche sénégalaises et confisqué leur pêche prétextant la caducité de leurs licences de pêches.
« Nous avons perdu des millions de francs CFA et nous ne pouvons pas continuer comme cela » ont déclaré les manifestants.
Les manifestants étaient particulièrement remontés contre les garde-côtes mauritaniens qu’ils accusent de brutalité, accusant par la même leur gouvernement de passivité devant cette situation.
La Mauritanie autorise des dizaines de pêcheurs sénégalais à accéder à leur ressource halieutique en vertu d’un accord signé avec le Sénégal, mais des incidents opposent assez souvent les pêcheurs sénégalais considérés en situation irrégulière aux garde-côtes mauritaniens.
Selon les médias locaux sénégalais les manifestants en colère ont bouclé certains axes principaux, fermé l’un des ponts de la ville, mis le feu à des pneus et ont affronté la police antiémeutes.
Les pêcheurs considèrent qu’ils ont été floués par les autorités mauritaniennes auxquelles elles ont payé la totalité des taxes exigées pour l’accès à la pêche pour une durée d’un an alors qu’ils n’ont été autorisé à pêcher que pendant deux mois seulement, après quoi on leur a signifié que leurs licences avaient expiré.
Les mêmes sources ajoutent que les garde-côtes mauritaniens ont arraisonné trois pirogues de pêche sénégalaises et confisqué leur pêche prétextant la caducité de leurs licences de pêches.
« Nous avons perdu des millions de francs CFA et nous ne pouvons pas continuer comme cela » ont déclaré les manifestants.
Les manifestants étaient particulièrement remontés contre les garde-côtes mauritaniens qu’ils accusent de brutalité, accusant par la même leur gouvernement de passivité devant cette situation.
La Mauritanie autorise des dizaines de pêcheurs sénégalais à accéder à leur ressource halieutique en vertu d’un accord signé avec le Sénégal, mais des incidents opposent assez souvent les pêcheurs sénégalais considérés en situation irrégulière aux garde-côtes mauritaniens.
saharamédias via cridem