Les cours internationaux des denrées alimentaires ont enregistré en juin 2016 leur plus forte hausse mensuelle en quatre ans, soit une augmentation de 4,2%, indique le nouvel indice des prix de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), publié jeudi.
« La hausse de juin, qui a eu un impact sur l'ensemble des catégories de produits, hormis les huiles végétales, était la cinquième hausse mensuelle consécutive », a par ailleurs souligné la FAO dans un communiqué de presse.
L'indice FAO des prix des produits alimentaires est un indice pondéré selon les échanges suivant les cours des marchés internationaux pour cinq groupes de produits : les principales céréales, les huiles végétales, les produits laitiers, la viande et le sucre.
Depuis mai, selon l'indice FAO, les prix du sucre ont grimpé de 14,8% alors que le Brésil, le plus grand producteur et exportateur de sucre, a connu de fortes pluies qui ont freiné les récoltes et endommagé les rendements.
L'indice FAO des prix des céréales a augmenté de 2,9% ce mois-ci. Les prix du maïs ont provoqué cette augmentation, principalement en raison de la diminution des stocks disponibles à l'exportation au Brésil. De larges stocks disponibles de blé et des rendements record aux Etats-Unis ont contribué à maintenir les prix du blé, a précisé la FAO.
Depuis mai, l'indice FAO des prix des produits laitiers a augmenté de 7,8%, stimulé par des prévisions incertaines en Océanie et par un ralentissement de la croissance des productions dans l'Union européenne. Néanmoins, l'indice affiche toujours une baisse de 14% par rapport à son niveau de l'année dernière.
L'indice FAO des prix de la viande a connu une hausse de 2,4% depuis mai, tandis que les moyennes des cotations pour le porc, le bœuf et la volaille ont toutes augmentées pour le troisième mois consécutif.
L'indice FAO des prix des huiles végétales va à l'encontre de cette tendance en affichant une baisse de 0,8% par rapport à mai.
Par ailleurs, le Bulletin de la FAO sur l'offre et la demande de céréales, également publié jeudi, signale une amélioration des perspectives de production, surtout pour le blé
« La production mondiale de blé, est à présent estimée à 732 millions de tonnes, soit 1% de plus que ce qui avait été prévu pour le mois de juin, principalement en raison de l'amélioration des perspectives dans l'Union européenne, la Fédération russe et aux Etats-Unis, pays qui devraient bénéficier de conditions climatiques plus clémentes », a souligné la FAO.
Les prévisions pour la production mondiale de maïs en 2016 ont pourtant été revues à la baisse, a précisé l'agence, car les perspectives d'une deuxième récolte au Brésil se sont assombries et une réduction de l'aide gouvernementale en Chine a provoqué une baisse des plantations.
Les cours internationaux des denrées alimentaires ont enregistré en juin 2016 leur plus forte hausse mensuelle en quatre ans, soit une augmentation de 4,2%, indique le nouvel indice des prix de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), publié jeudi.
« La hausse de juin, qui a eu un impact sur l'ensemble des catégories de produits, hormis les huiles végétales, était la cinquième hausse mensuelle consécutive », a par ailleurs souligné la FAO dans un communiqué de presse.
L'indice FAO des prix des produits alimentaires est un indice pondéré selon les échanges suivant les cours des marchés internationaux pour cinq groupes de produits : les principales céréales, les huiles végétales, les produits laitiers, la viande et le sucre.
Depuis mai, selon l'indice FAO, les prix du sucre ont grimpé de 14,8% alors que le Brésil, le plus grand producteur et exportateur de sucre, a connu de fortes pluies qui ont freiné les récoltes et endommagé les rendements.
L'indice FAO des prix des céréales a augmenté de 2,9% ce mois-ci. Les prix du maïs ont provoqué cette augmentation, principalement en raison de la diminution des stocks disponibles à l'exportation au Brésil. De larges stocks disponibles de blé et des rendements record aux Etats-Unis ont contribué à maintenir les prix du blé, a précisé la FAO.
Depuis mai, l'indice FAO des prix des produits laitiers a augmenté de 7,8%, stimulé par des prévisions incertaines en Océanie et par un ralentissement de la croissance des productions dans l'Union européenne. Néanmoins, l'indice affiche toujours une baisse de 14% par rapport à son niveau de l'année dernière.
L'indice FAO des prix de la viande a connu une hausse de 2,4% depuis mai, tandis que les moyennes des cotations pour le porc, le bœuf et la volaille ont toutes augmentées pour le troisième mois consécutif.
L'indice FAO des prix des huiles végétales va à l'encontre de cette tendance en affichant une baisse de 0,8% par rapport à mai.
Par ailleurs, le Bulletin de la FAO sur l'offre et la demande de céréales, également publié jeudi, signale une amélioration des perspectives de production, surtout pour le blé
« La production mondiale de blé, est à présent estimée à 732 millions de tonnes, soit 1% de plus que ce qui avait été prévu pour le mois de juin, principalement en raison de l'amélioration des perspectives dans l'Union européenne, la Fédération russe et aux Etats-Unis, pays qui devraient bénéficier de conditions climatiques plus clémentes », a souligné la FAO.
Les prévisions pour la production mondiale de maïs en 2016 ont pourtant été revues à la baisse, a précisé l'agence, car les perspectives d'une deuxième récolte au Brésil se sont assombries et une réduction de l'aide gouvernementale en Chine a provoqué une baisse des plantations.
Les cours internationaux des denrées alimentaires ont enregistré en juin 2016 leur plus forte hausse mensuelle en quatre ans, soit une augmentation de 4,2%, indique le nouvel indice des prix de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), publié jeudi.
« La hausse de juin, qui a eu un impact sur l'ensemble des catégories de produits, hormis les huiles végétales, était la cinquième hausse mensuelle consécutive », a par ailleurs souligné la FAO dans un communiqué de presse.
L'indice FAO des prix des produits alimentaires est un indice pondéré selon les échanges suivant les cours des marchés internationaux pour cinq groupes de produits : les principales céréales, les huiles végétales, les produits laitiers, la viande et le sucre.
Depuis mai, selon l'indice FAO, les prix du sucre ont grimpé de 14,8% alors que le Brésil, le plus grand producteur et exportateur de sucre, a connu de fortes pluies qui ont freiné les récoltes et endommagé les rendements.
L'indice FAO des prix des céréales a augmenté de 2,9% ce mois-ci. Les prix du maïs ont provoqué cette augmentation, principalement en raison de la diminution des stocks disponibles à l'exportation au Brésil. De larges stocks disponibles de blé et des rendements record aux Etats-Unis ont contribué à maintenir les prix du blé, a précisé la FAO.
Depuis mai, l'indice FAO des prix des produits laitiers a augmenté de 7,8%, stimulé par des prévisions incertaines en Océanie et par un ralentissement de la croissance des productions dans l'Union européenne. Néanmoins, l'indice affiche toujours une baisse de 14% par rapport à son niveau de l'année dernière.
L'indice FAO des prix de la viande a connu une hausse de 2,4% depuis mai, tandis que les moyennes des cotations pour le porc, le bœuf et la volaille ont toutes augmentées pour le troisième mois consécutif.
L'indice FAO des prix des huiles végétales va à l'encontre de cette tendance en affichant une baisse de 0,8% par rapport à mai.
Par ailleurs, le Bulletin de la FAO sur l'offre et la demande de céréales, également publié jeudi, signale une amélioration des perspectives de production, surtout pour le blé
« La production mondiale de blé, est à présent estimée à 732 millions de tonnes, soit 1% de plus que ce qui avait été prévu pour le mois de juin, principalement en raison de l'amélioration des perspectives dans l'Union européenne, la Fédération russe et aux Etats-Unis, pays qui devraient bénéficier de conditions climatiques plus clémentes », a souligné la FAO.
Les prévisions pour la production mondiale de maïs en 2016 ont pourtant été revues à la baisse, a précisé l'agence, car les perspectives d'une deuxième récolte au Brésil se sont assombries et une réduction de l'aide gouvernementale en Chine a provoqué une baisse des plantations.
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