
Les pays arabes réunis lors d'un sommet dimanche à Tunis n'ont pas atteint leur objectif d'unité, sauf sur le Golan, l'émir du Qatar, au coeur d'un contentieux diplomatique avec l'Arabie saoudite, ayant quitté prématurément le rendez-vous.
Les dirigeants arabes ont rejeté et dénoncé dans une déclaration finale la reconnaissance américaine de la souveraineté d'Israël sur le plateau du Golan, conquis à la Syrie en 1967 puis annexé en 1981.