Si ce n’est pas le cas, visiblement, en Arabie et dans des pays producteurs occidentaux, le pétrole apparaît comme une malédiction pour les pays africains, on le découvre. C’est ce que le commun des mortels Mauritaniens et Sénégalais craignent.
Des dizaines de véhicules et leurs occupants sont coincés depuis deux jours au poste frontière d’entrée en provenance de Dakhla, apprend-on de source sur place.
Selon la même source, le blocage des passagers dont des touristes se rendant en Mauritanie a pour origine un défectuosité du système informatique utilisé par les administrations publiques locales (police, douanes, agence nationale des titres sécurisés).
La société malaisienne Petronas qui veut se retirer du puits pétrolier de Chinguetti (champ offshore à 65 kilomètres de Nouakchott) en 2017 doit encore patienter.
L'Assemblée nationale a approuvé au cours de ses réunions plénières entamées samedi soir et clôturées tard dans la nuit, sous la présidence de son président M. Mohamed Ould Boïlil, le projet de loi des finances initiale pour l'année 2017 qui s'équilibre en recettes et en dépenses à 461.439.375.000 UM (Quatre cent soixante et un mille quatre centre trente neuf millions trois cent soixante quinze mille ouguiyas).
« Les autorités supérieures du pays abusent du fisc, en l’instrumentalisant à titre de moyen de pression, brandi sur la tête de certains hommes d’affaires opposants, pour migrer vers la majorité », a affirmé le député du parti d’opposition, le Rassemblement National pour la Réforme et le Développement (RNRD-Tawassoul), Sellamy Ould Abdallahi.
La société ATTM filiale de la Snim a renoncé à la réalisation du barrage de Seguelil dans la Wilaya de l’Adrar le cédant à la STAM représentée par des personnalités influentes proches du président Mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz.
Les dockers du PANPA, en grève depuis quatre jours, ont décidé suspendre leur mouvement jusqu’au 31 décembre prochain. Ils ont repris le travail ce matin. C’est ce qu’a appris au Calame, une source proche des grévistes.
Ils rentrent les uns après les autres de leur ruée vers l’or, et pas bien fiers, les quelque 16 000 orpailleurs amateurs qui, en avril, avaient fondu sur la région de Tijirit, à quelques centaines de kilomètres de Nouakchott.
Nouadhibou, notre capitale économique, a abrité mercredi, un atelier organisé dans le cadre de la célébration de la journée mondiale contre la corruption.
L’initiative de transparence dans le secteur halieutique (FiTi) est au centre des débats d’un atelier prévu mercredi à Nouadhibou dans le sillage des activités officielles commémoratives de la journée mondiale contre la corruption.