Le secteur bancaire mauritanien est faible. La plupart de ses indicateurs ont chuté en 2018 par rapport à l’année précédente, selon le rapport sur l’économie mauritanienne de la Banque mondiale.
Le changement, c’est maintenant ou jamais. Au cours des dix dernières années, la Mauritanie a traversé l’une des périodes les plus sombres de son histoire.
Supervisé en 2015 à Boulenouar par le président Mohamed Ould Abdelaziz, dans le cadre des festivités commémoratives du 55ème anniversaire de l’indépendance nationale, le champ de panneaux solaires d’une capacité de 12 Mégawatts n’est plus qu’un vaste champ de ruines, constatent les lanceurs d’alerte sur les réseaux sociaux.
Les premiers échantillons de produits d'oxyde d'uranium ont été produits à partir de minerai provenant de la mine Tiris d'Aura Energy en Mauritanie, en Afrique de l'Ouest.
Les échantillons ont été produits au cours d'essais dans les laboratoires de l'ANSTO (Australian Nuclear Science and Technology Organization).
Au moment où les employés de la SNIM ne trouvent pas de quoi nourrir leurs familles et s’exposent aux risques et aux maladies, les gains sont récoltés par les influents qui ne produisent pas, a affirmé le candidat à l’élection présidentielle du 22 juin prochain, Biram Ould Dah Ould Abeid.
La Snim faisait sans doute grise mine depuis 2015. Sa gestion durant toute la décennie du régime de Mohamed Ould Abdelaziz l’a terrassée. Elle n’a plus comme solution pour sortir de son marasme que de céder certains de ces gisements à des entreprises bien introduites auprès du régime.
Un marché d’intrants pour une valeur de 10 millions de dollars américains a été attribué à un holding suisse du nom de Ameropa, tient-on de bonne source.
Zein Al Abidine, naguère inconnu, et propulsé par son mentor, Mohamed Ould Abdelaziz, à la tête du patronat, rafle sans coup férir tous les marchés publics dont le dernier serait l’attribution encore officieuse à son entreprise RIMTEL de la licence 4G. Explications.