L’agriculture est ce secteur économique sur qui se basent la majorité des pays du monde, où il joue un rôle important dans le développement local, d’où la nécessité de le préserver et de lui donner tous les moyens nécessaires afin qu’il reste l’un des pôles économiques qui peut faire avancer ces pays. Mais dans certains pays, il semble que des soucis majeurs viennent freiner leurs élans, avec des sacrifices à faire pour le relancer et le mettre au devant de l’économie nationale.
C’est le cas de la Mauritanie, dont les hauts responsables de ce pays ainsi que ceux du secteur de l’agriculture et ce dans le but de relever le défi avec des moyens mis à la disposition de ce dernier. Mais ces derniers temps, on parle d’une crise dans la distribution des engrais, qui restent un produit important pour les meilleures récoltes possibles. En Mauritanie, l’on se pose la question de ce qui se passe dans le marché de la distribution des engrais en Mauritanie, d’où les prix qui auraient flambé ces derniers jours atteignant des pics de 500% par rapport au prix de base.
La tonne revenant à 130.000 Ouguiyas anciens pour un tonne, ce produit serait souvent sujet à des spéculations et des on-dit. Selon les infos, le cours le plus courant se situe au dessus des 200.000 Ouguiyas. Cet état de fait, fait dire aux observateurs de la chose agriculturale que les subventions de la denrée profitent beaucoup plus aux commerçants ainsi qu’aux intermédiaires qu’aux paysans. D’ailleurs, c’est annoncé qu’un gros scandale avait secoué le marché en 2016 et ce suite à la disparition d’un tonnage qui aurait été estimé à deux milliards d’Ouguiyas et ce à la société qui le gère.
Une enquête devait être lancée, ordonnée par le président mauritanien sur cet état de fait et l’inspection générale de ce pays aurait dés lors diligenté une enquête qui a débouché sur la saisie d’importantes quantités auprès d’une société prénommée « El Weva ». L’enquête avait révélé à l’époque que l’engrais et les pesticides subventionnés étaient revendus jusqu’à 5 fois leur prix. En 2018, les prix des produits montent comme une flèche et l’on se pose justement la question d’à qui la faute.
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